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Je réussis le DEEJE pour devenir éducateur de jeunes enfants

17 mai 2022

Par Monique Remillieux

Je réussis le DEEJE

Je réussis le DEEJE

Je réussis le DEEJE pour devenir éducateur de jeunes enfants

Je réussis le DEEJE pour devenir éducateur de jeunes enfants

Le cours complet pour les 3 années de formation au DEEJE

  • DC1 : Accueil et accompagnement du jeune enfant et de sa famille

  • DC2 : Action éducative en direction du jeune enfant

  • DC3 : Travail en équipe pluriprofessionnelle et communication professionnelle

  • DC4 : Dynamiques interinstitutionnelles, partenariats et réseaux

  • UT : nitiation à la démarche et méthodologie de recherche en travail social

Nous vous invitons à découvrir le Chapitre 20 (section DC2)

Approche des problématiques socio-économiques

L’éducateur de jeunes enfants est un travailleur social spécialisé dans le domaine de la petite enfance. Son travail auprès du jeune enfant ne peut se faire qu’en tenant compte de son environnement social et familial. Aussi, il attache une importance particulière à l’observation du lien existant entre l’enfant et sa famille, l’enfant et son milieu.

Dans le cadre de ses fonctions, l’EJE développe une capacité d’observation et d’analyse et s’implique avec d’autres professionnels du social dans des actions de soutien à la parentalité à l’échelle du territoire sur lequel sa structure ou son service sont implantés.

Aujourd’hui, face aux discours stigmatisants par rapport aux habitants des cités et culpabilisants par rapport à certains parents, sans doute générés par la peur, la méconnaissance, etc., il est important de travailler certaines valeurs et l’éthique des travailleurs sociaux.

A lire aussi : Les méthodologies du projet personnalisé S’ouvre dans une nouvelle fenêtre un extrait de l'ouvrage Je réussis le DEES Le questionnement sur le problème de la pauvreté

Dans cet ouvrage, l’idée n’est pas de prétendre résoudre le problème de la pauvreté, mais d’apporter une contribution à la compréhension de ce qui se joue entre les parents et les éducateurs de jeunes enfants, afin que ces derniers se trouvent mieux armés pour s’interroger et guider leur action. Il ne s’agit donc pas de proposer une nouvelle méthode de travail, mais bien plus de susciter un questionnement et de lancer des pistes de réflexion, voire d’action avec les familles vivant une situation de pauvreté.

Le jeune enfant restant au cœur des préoccupations de l’EJE, ce sera bien de sa protection dont il sera question, même si les parents seront le sujet essentiel.

L’EJE doit s’interroger sur les effets de la pauvreté sur les enfants accueillis dans les structures de petite enfance. Quelle est l’incidence de la pauvreté sur le développement des jeunes enfants et leur devenir ? Quelles sont les conséquences sur le lien parent-enfant ? Qu’est-ce que grandir dans une famille pauvre ?

La compréhension du problème de la pauvreté

Il est important de souligner qu’à l’échelle de l’espace urbain de la cité, la pauvreté ne touche pas tous les ménages de manière identique. Certains disposent de revenus modestes, mais ne sont pas pauvres. Cependant, l’assimilation de la personne à un lieu de vie considéré comme économiquement défavorisé contraint tous les habitants à partager le stigmate de la pauvreté même si celui-ci ne concerne réellement qu’une partie des ménages.

Les difficultés économiques et un chômage souvent de longue durée provoquent une précarité endémique et l’isolement social de beaucoup de ménages.

« Des personnes vivent dans des situations de pauvreté si leurs revenus et leurs ressources (matérielles, culturelles et sociales) sont à ce point insuffisants qu’elles les empêchent d’avoir des conditions de vie considérées comme acceptables dans le pays membre où elles vivent. »1

Cette définition, donnée par le Conseil européen, souligne tout d’abord que la pauvreté est un phénomène relatif : on est pauvre au sein d’une société donnée. Elle met en évidence aussi que la pauvreté est un phénomène ayant à voir avec l’exclusion : la pauvreté peut couper ceux qui en souffrent du reste de la société, en les empêchant d’accéder aux normes de consommation, en engendrant un phénomène de « honte », en les incitant à demeurer dans un « entre-soi » aux effets démobilisateurs.

Au regard de ce constat, de nombreux sociologues ont tenté de cerner ce phénomène. Parmi eux, Serge Paugam a développé le concept de disqualification sociale et Robert Castel celui de désaffiliation.

A La disqualification sociale

Le concept de disqualification sociale est actuellement très utilisé du fait de la résurgence de la question de l’exclusion. Il est fortement lié à des notions telles que la désinsertion sociale (insistant davantage sur des phénomènes perçus et vécus individuellement), plutôt qu’à celles de la relégation sociale (mettant l’accent sur la stigmatisation collective) ou du déclassement social (visant à rendre compte des effets de mécanismes sociaux globaux).

La disqualification sociale, dans une perspective d’analyse des modes de gestion de l’échec social, s’attache au discrédit porté sur ceux qui ne participent pas « pleinement » à la vie économique et sociale. Elle met au centre de la réflexion le statut occupé par la personne et sa position dans la hiérarchie sociale en même temps que les effets identitaires des logiques de désignation et d’étiquetage. À ce titre, elle porte également un intérêt au rôle du disqualifié qui n’est plus seulement posé comme une victime, mais aussi « comme acteur de la disqualification, que cette action prenne les formes de l’acceptation, de la dénégation ou de la transaction »2

La disqualification tend ainsi à rendre compte tant de la dégradation morale que présente ce processus de changement organisé de statut que de la procédure sociale de désignation qui l’accompagne. Elle repose sur l’idée selon laquelle des faits sociaux, comme l’assistanat, peuvent être vécus comme une cérémonie de dégradation statutaire à l’occasion de laquelle est mise en vue une nouvelle appartenance à une catégorie sociale peu honorable ou tout au moins inférieure au rang social antérieurement occupé. Elle réintègre, ce faisant, une dimension symbolique (celle de la valeur de la place occupée dans la hiérarchie sociale), à côté des dimensions économiques et sociales. La question de la valeur sociale des individus et celle de leur contribution à la collectivité en termes d’utilité sociale recoupent, en ce sens, intimement la dévalorisation de l’identité d’individus qui, ayant intégré celle-ci, en viennent simultanément à l’autodénigrement et au décrochage social.

Serge Paugam parle d’un phénomène d’« étiquetage » (apposition de la part de la société d’une image le plus souvent négative des personnes en difficulté).

C’est véritablement ce sentiment et l’image négative que les publics en difficulté se font d’eux-mêmes, mais également que la société véhicule et leur donne d’eux-mêmes, qui les conduisent à l’exclusion.

Dans ce cas, la personne s’exclut elle-même de la scène sociale parce qu’elle se sent exclue du système, rejetée.

Situation

Mme R., mère de deux jeunes enfants, explique les « stratagèmes » qu’elle utilise afin que les habitants de son quartier ne la voient pas aller demander de la nourriture au Secours populaire : « C’est trop la honte ! », honte de ne pas pouvoir être comme tout le monde. Ainsi, cette personne, de peur de ne pas pouvoir assumer « le poids des regards », ne va voir les bénévoles du Secours populaire qu’aux heures où elle sait qu’il y a peu de demandes. Elle exprime aussi clairement le fait qu’elle a « horreur de quémander », mais qu’elle n’a « pas le choix à cause de ses enfants ».

Remarque Il s’agit réellement pour cette femme d’un engrenage. La honte entraînerait le rejet et le rejet engendrerait l’exclusion. Le terme de « disqualification » de Serge Paugam peut être rapproché du terme de « désaffiliation » de Robert Castel.

B La désaffiliation

Robert Castel aborde les conséquences de la pauvreté sous un autre angle. En effet, l’idée de disqualification renvoie à une situation de hors-jeu, alors que la désaffiliation comprend une dimension socio-historique à visée plus explicative.

La pauvreté n’est pas un état. Comme le souligne Robert Castel, c’est plutôt un processus, autrement dit un enchaînement de situations et d’actions émaillées de ruptures professionnelles et familiales, qu’il désigne sous le terme de désaffiliation.

Cette notion est proposée par le sociologue pour désigner le « mode particulier de dissociation du lien social », la « rupture du lien sociétal » qu’ont en commun les exclus, les pauvres. « Au bout du processus, la précarité économique est devenue dénuement, la fragilité relationnelle isolement. […] En schématisant, être dans la zone d’intégration signifie que l’on dispose des garanties d’un travail permanent et que l’on peut mobiliser des supports relationnels solides ; la zone de vulnérabilité associe précarité du travail et fragilité relationnelle ; la zone de désaffiliation conjugue absence de travail et isolement social. »3

Quelle que soit la manière dont on caractérise la frontière entre pauvreté et exclusion, pour peu que l’on prenne la peine de suivre dans le temps un groupe de personnes se trouvant dans l’une ou l’autre de ces situations, on constate que, d’une année sur l’autre, une proportion variable de ces personnes change de catégorie : elles peuvent s’en sortir ou tomber dans le dénuement.

Ce phénomène de mobilité permanente ne suffit pas toujours, semble-t-il, à nous faire éviter la confusion entre les situations et les personnes, tant sont prégnantes les représentations idéologiques qui les confondent.

Les « pauvres », les « exclus », les « assistés » et les « précaires » sont donc des catégories qui ne désignent aucunement des personnes, mais des situations. Et pourtant, ceux que l’on appelle les « pauvres », qui vivent déjà dans l’incertitude du lendemain, souffrent du regard des autres, de sorte que les préjugés et le mépris dont ils sont si souvent l’objet aggravent leur situation.

La désaffiliation s’applique au domaine de recherche qui nous intéresse, et notamment les conséquences de la perte du lien social sur la parentalité.

D’après Robert Castel, les idées reçues sont préjudiciables aux parents en situation de pauvreté. La plus courante voudrait que les « pauvres » soient responsables de leurs propres difficultés. Ils sont alors représentés comme des êtres paresseux, profiteurs, voire agressifs. D’autres les accusent d’être des parents démissionnaires, incapables de gérer le budget familial, de discipliner leurs enfants et de les aider à s’insérer. Ils sont tenus pour responsables des actes de délinquance de leur progéniture.

La pauvreté « tape » sur le lien familial. C’est dans le lien familial que chacun construit son identité, c’est dans les interactions familiales que se créent les fondements sociaux.

C Le sentiment de honte

Vincent de Gaulejac s’intéresse depuis plus de vingt ans aux inégalités sociales et à leurs effets sur les individus, les groupes et les sociétés. Il appréhende dans ses travaux la honte en tant que « sentiment social ».

La honte, c’est d’abord la honte d’être mal né, puis d’être mal élevé. Cela amène à intérioriser une image négative de soi, qui détruit de l’intérieur. L’intériorisation de la honte est une intrication de hontes multiples qui amènent souffrances sociales, psychiques et affectives. Ce sentiment s’enracine dans l’enfance. En effet, l’enfant a honte pour lui, mais aussi pour ses parents.

La honte psychique, c’est la perte d’estime de soi, le contraire de l’amour-propre : la honte de soi.

La honte sociale, c’est se sentir stigmatisé à cause de son identité. La honte apparaît lorsque les processus identitaires sont perturbés. C’est ce qui amène à pouvoir dire : « La pauvreté, c’est la honte ! »

La pauvreté n’est pas forcément facteur de honte, mais elle est humiliante lorsque plusieurs facteurs sont réunis : conditions d’existence dégradantes, normes stigmatisantes qui rejettent les plus défavorisés, sentiment de déchéance.

Le regard stigmatisant conduit le stigmatisé à se conforter à l’image qui lui est renvoyée et tout ce qu’il fait pour essayer de s’en sortir est perçu comme inadaptéagressifdéplacé, l’obligeant à se couler dans les circuits d’assistance qui sont en même temps des circuits d’exclusion.

L’assistance est souvent vécue comme une épreuve humiliante parce que l’aide est subordonnée à une série de conditions qui sont autant de symptômes de la considération sociale dont l’assisté fait l’objet.

L’obligation de s’y soumettre est un aveu d’infériorité. L’assisté doit reconnaître ses infériorités et ses carences : c’est une « violence symbolique » qui s’exerce sur lui.

Si la honte est donc un sentiment éminemment social, puisqu’elle naît sous le regard d’autrui dans la confrontation du sujet au monde, elle s’enracine dans ce qu’il y a de plus intime, dans le sentiment d’exister comme un être unique, différent des autres, ayant une singularité propre. Elle s’inscrit dans la recherche de cohérence entre soi et soi, entre soi et le monde. Elle est du registre de l’être, à la différence de la culpabilité qui est du registre du faire. On peut soulager la culpabilité par la confession, la réparation, la punition ou le repentir, alors que la honte nécessite une transformation de soi-même. C’est l’être profond qui est atteint, comme s’il y avait quelque chose d’irréversible. Toute la vie est concernée : les croyances, les valeurs, mais aussi les relations, la famille, la culture, le rapport à la société.

Situation

Les exigences de Jordan

La maman de Jordan (4 ans) vient le chercher au centre de loisirs maternel. Celui-ci interpelle sa mère avec insistance en lui demandant de lui acheter la même paire de baskets (d’une célèbre marque) que son ami Mickaël. Cette dernière lui répond qu’elle ne gagne pas assez d’argent pour acheter la même paire, mais promet qu’elle essaiera d’en trouver une similaire. Jordan se fâche et dit : « Je veux celles-là ou j’en veux pas ! »

Remarque

Dans notre société, où les sollicitations sont constantes, le manque de ressources financières entraîne à lui seul un fort sentiment d’exclusion. Les enfants sentent très vite la grande précarité de leurs parents. Les parents, de leur côté, ont tôt fait de se dire qu’ils sont « nuls », incapables de « faire plaisir » à leurs enfants, de « leur payer » ce qui leur permettrait de se sentir intégrés.

Cette théorisation confirme qu’il est nécessaire d’accompagner la parentalité, et d’autant plus dans ce contexte de pauvreté et de désaffiliation.

La pauvreté, notamment celle du jeune enfant, est au cœur des inquiétudes de l’Etat qui au travers de sa « stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté » (octobre 2018) propose plusieurs axes de réflexion afin d’agir contre celle-ci.Pourtant, d’après Serge Paugam et Robert Castel, la pauvreté n’est pas prête d’être éradiquée, et même la pauvreté disqualifiante risque de se répandre. Il y aura donc probablement encore longtemps des enfants pauvres.

Il semble que l’on ne peut donc pas se limiter à lutter contre la pauvreté et qu’il est nécessaire de réfléchir aussi à la prévention des conséquences de la pauvreté sur les enfants.

Mémo plus

Un certain nombre de travaux ont montré l’importance, dans le processus d’exclusion et/ou de pauvreté, des difficultés vécues dans les premières années de la vie, et donc de la nécessité de chercher à les résoudre le plus tôt possible.Comment mettre en place cette prévention ?Ce mode de prévention reste à construire et fait l’objet de la démarche suivante : la construction de la méthode avec les parents et les professionnels.L’objectif est de savoir comment les parents aimeraient être aidés, en partant du principe qu’ils sont tous en difficulté, car « être parent n’est facile pour personne ». Il est important d’impliquer les parents, de travailler avec les familles, qu’elles présentent des carences ou non.Cette prévention s’adresse aux parents à travers la relation qu’ils entretiennent avec leurs enfants.Ce travail avec les familles, c’est l’accompagnement. Il faut donc considérer l’accompagnement des familles comme un appui adapté à la demande, dosé en fonction de la difficulté. Celui qui est accompagné doit savoir où il va, avoir un projet.Dans l’accompagnement des parents, il semble important de partir du principe qu’ils ont toujours un projet pour leurs enfants ; mais même si celui-ci n’est pas défini, ils souhaitent au moins que leurs enfants aient une « belle vie ».Quatre points semblent à souligner :

  • l’importance d’une intervention précoce : que ce soit dans le domaine de la santé, de l’école, voire de la socialisation, les processus positifs ou négatifs sont très fortement cumulatifs et pèsent sur le développement des enfants ;

  • l’intervention externe doit profondément respecter la responsabilité première des parents qui doivent être confortés et aidés dans leur rôle par rapport aux jeunes enfants. Elle doit progressivement, avec l’avancée en âge de l’enfant, l’aider à développer sa propre responsabilité sur son devenir ;

  • la continuité nécessaire de l’action, alors que les acteurs extérieurs sont souvent amenés à intervenir sur une « tranche d’âge » donnée ;

  • la coordination des intervenants est essentielle.

Ces points s’appliquent à la définition et à la mise en œuvre de toutes les politiques concernant les enfants. Ils doivent être particulièrement respectés dans le cas des enfants de familles défavorisées.

Pour en savoir plus

Castel R. (1995). Les métamorphoses de la question sociale : une chronique du salariat. Paris : Fayard.

De Gaulejac V. (1996). Les sources de la honte. Paris : Desclée de Brouwer.

De Gaulejac V., Blondel F., Taboada-Léonetti I. (2007). La lutte des places. Paris : Desclée de Brouwer.

Donzelot J. (1991). Face à l’exclusion : le modèle français. Paris : Esprit.

Dubet F. (2010). Les places et les chances : repenser la justice sociale. Paris : Seuil.

Dubet F. (1987). La galère : jeunes en survie. Paris : Fayard.

Paugam S. (2009). La disqualification sociale : essai sur la nouvelle pauvreté. Paris : PUF.

Paugam S. (2013). Les formes élémentaires de la pauvreté, 3e édition. Paris : PUF.

Références

1 . Conseil emploi revenus cohésion sociale (CERC). Les enfants pauvres en France. Rapport n° 4, La documentation française. Paris ; 2004, p. 6. 2 . Paugam S. La disqualification sociale, essai sur la nouvelle pauvreté. Paris : PUF ; 1991, p. 104. 3 . Castel R. Les métamorphoses de la question sociale. Paris : Fayard, coll. « L’espace du politique » ; 1998.

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Je réussis le DEEJE. Diplôme d’État d’éducateur de jeunes enfants 2022 , © 2022 Elsevier Masson SAS Tous droits réservés.

Auteurs : sous la direction de C. Rose et de C. Valette

détail auteurs S’ouvre dans une nouvelle fenêtre

Sous la direction de Céline Rose

Responsable du département enfance et famille à l’IESTS de Nice

et de Christophe Valette

Responsable du département intervention sociale à l’IESTS de Nice

Avec la collaboration de :

Vincent Chaudet Docteur en sciences de l’éducation, éducateur spécialisé, direction scientifique de la recherche à l’ARIFTS, Association régionale pour l’Institut de formation en travail social des Pays de la Loire Guillaume Demont Maître de conférences en sciences de l’éducation, chargé de formation à l’Arche, à Paris

Karolina Mrozic-Demont Éducatrice spécialisée, chef de service en CHRS et SIAO, à Chartres

Karine Delfour Assistante de service social, formatrice à l’IESTS de Nice

Jacqueline Gassier Puéricultrice DE et professeur de sciences et techniques médico-sociales

JE RÉUSSIS LE DEEJE Diplôme d'État d'Éducateur de Jeunes Enfants DC1 et DC2+socle commun (DC3 et DC4) sous la direction de C.Rose et de C.Valette ISBN 9782294777547 4e édition, 2022 DEAES, DEME, DEASS, DEEJE, DEES S’ouvre dans une nouvelle fenêtre

rubrique Concours paramédicaux et Scolaire S’ouvre dans une nouvelle fenêtre

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