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Les systèmes d’aide à la décision clinique : dissiper les malentendus et définir leurs objectifs

16 décembre 2021

Pour éliminer tout malentendu, il est crucial de bien comprendre ce que représentent ces systèmes d’aide à la décision clinique et le rôle qu’ils jouent dans la prise de décision médicale. Par Ian Chuang, MD

Les systèmes d’aide à la décision clinique

Les systèmes d’aide à la décision clinique

Par Ian Chuang, MD – 14 septembre 2021

Cet article est une traduction. Cliquez ici pour lire l’article complet en anglaisS’ouvre dans une nouvelle fenêtre.

Depuis les années 1970, les technologistes médicaux, les équipes de recherche en informatique médicale et les cliniciens reconnaissent largement que les systèmes d’aide à la décision médicale (SADM ou CDS pour Clinical Decision Support) sont devenus un outil complémentaire très utile pour les professionnels de santé. Malgré cela, conjectures et confusions perdurent sur les risques qu’à terme les SADM finissent par remplacer le rôle du clinicien et automatisent ainsi la prise de décisions cruciales.

Pour comprendre pourquoi cette idée n’est pas fondée, il est essentiel de bien saisir ce que sont réellement les SADM ainsi que leur rôle dans la prise de décision médicale. Les SADM sont conçus pour faciliter le filtrage de grandes quantités de données numérisées afin de contribuer à suggérer les étapes suivantes du traitement ou alerter les professionnels de santé sur l’existence d’autres informations intéressantes. Les ordinateurs ne contrôlent pas les décisions finales, mais réunissent et délivrent des informations venant compléter la décision prise par le corps médical. Les SADM ont pour but d’améliorer la qualité des soins, de permettre aux membres de l’équipe soignante d’être plus efficaces et de réduire le nombre d’erreurs.

L’utilisation de protocoles de soins représente un très bon exemple de l’intérêt des outils d’aide à la décision clinique dans un contexte hospitalier. Le protocole de soins médicaux est un descriptif prédéfini qui facilite la prise de décision médicale en face d’une pathologie particulière ou d’une procédure médicale spécifique. Même si les protocoles de soins permettent d’alléger en partie la charge de travail, ils laissent une marge de manœuvre au clinicien pour mener les soins selon son expérience et s’appuyer sur les dernières normes de soins et recommandations.

Il est évident que les SADM ne permettront jamais de se dispenser d’un clinicien ; par contre ils viendront soutenir notre système de soins et permettront au clinicien de fournir la meilleure qualité de soins aux patients.

Cliquez ici pour lire l’article completS’ouvre dans une nouvelle fenêtre.

Écrit par

Ian Chuang, Docteur en médecine

Dr Ian Chuang est le directeur médical (CMO) monde de la division santé EMEALAAP chez Elsevier. Le travail du Dr Chuang chez Elsevier est de collaborer avec les leaders de la santé pour améliorer l’adoption des technologies de l’information dans le domaine de la santé, en particulier les systèmes d’aide à la décision médicale, ceci afin d’améliorer la prise de décision et les processus de soin pour optimiser les résultats en matière de santé.

Ian-Chuang

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